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Message par Akira Dim 29 Juil - 7:10

Voici quelques animaux qui sont un mystère ou une bizzarerie en ce moment pour l'homme. J'ai préféré regroupé tout en un seul sujet.


Tortue à 2 têtes :


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Oiseau Géant :


Blog de ovi : Le Pays de l'étrange, L'oiseau géant.
En 1890, dans le desert de l’Arizona, se produisit l’une des rencontres les plus étrange que l’on puisse imaginer...

Deux cowboys virent dans le ciel, une sorte de gigantesque oiseau, de 48 m d’envergure (160 pied), et de 28 m (92 pied) de long. Cette créature avait un corps de serpent, des pattes avec des griffes, une face d’alligator et des ailes immenses, ressemblant à des ailes de chauves souris. Celles-ci, étaient presque translucide et très fine de sorte que l’on pouvait les transpercer d’une balle. Les deux hommes la suivirent, l’énorme oiseau se posa et redécolla à plusieurs reprise et finalement les deux cowboys lui tirairent dessus et l’abattirent. Ils la découpèrent et ramenèrent celle-ci dans la ville de Tombstone. Le journal locale, the Epitaph, publia un article sur l’événement dans son édition d’avril 1892.

Plusieurs années plus tard, en 1930 dans un livre d’Horace Bell « On the Old West Coast », on pu lire cette histoire, et nous apprend que le journal the Epitaph aurait publié en 1886 une photo de cette créature. Hélas aucune trace de cette photo n’a pu être trouvé.

En septembre 1963 ce fut au tour de Fate magazine de publier un texte d’un certain H.M. Cranmer, qui se rappelle avoir vu cette photographie et qu’elle aurait été publier dans plusieurs journaux un peu partout aux États unis...

Depuis 1990 de nombreuse personne se sont mis à la recherche de cette photographie, hélas jusqu’à présent personne n’a vu cette photographie.

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Mokele-Mbêmbe :


Blog de ovi : Le Pays de l'étrange, Mokele-Mbêmbe [1/3]

L'incroyable possibilité que des dinosaures puissent encore exister, déambulant dans des jungles perdues et oubliées des hommes est probablement la perspective la plus exaltante pour le monde scientifique. Le Mokele-Mbêmbe, une créature que quelques hommes de science croient être un survivant des dinosaures sauropodes, est une de ces légendes.

En 1776, l'abbé Lievan Bonaventure Proyarte rapporte dans son livre "Histoire du Loango, du Kakonga, et d'autres royaumes d'Afrique", qu'un groupe de missionnaires français avait trouvé dans la forêt, les traces d'un énorme animal inconnu. La traduction de Pinkerton, publiée en 1914, se lit comme suit :

"Il doit être monstrueux. Les empreintes de ses griffes que l'on a vues par terre ont laissé des traces d'une circonférence d'environ trois pieds. En observant chacune des empreintes et leur disposition, ils ont conclu qu'il n'avait pas couru dans cette partie du chemin, malgré la distance de sept ou huit pieds qui séparait chacune des empreintes."

Une empreinte de cette largeur ne peut être faite que par un animal de la taille d'un éléphant. Mais ces derniers ne possèdent pas de griffes. Quelle sorte de monstre était-ce ?

"On dit de lui qu'il est d'une couleur gris brunâtre... Que sa grosseur est approximativement celle d'un éléphant. On dit qu'il a un long coup très flexible. Certains parlent d'une longue queue musclée comme celle d'un alligator. On dit que les canoës s'approchant près de ces animaux sont condamnés; On dit qu'ils attaquent sur-le-champ les navires et tuent leur équipage, mais qu'ils ne les mangent pas. On dit que cette créature vit dans des cavernes creusées par la rivière dans l'argile, sur les rives où la rivière tourne abruptement. On dit qu'il grimpe sur la rive, même en plein jour, à la recherche de sa nourriture; On dit qu'il est entièrement végétarien."

Pour vérifier les dires des populations locales, certains savants ont montré aux Pygmées des ouvrages paléontologiques représentant des dinosaures (il faut rappeler que les Pygmées ne connaissent pas l'existence des dinosaures). D'après les témoignages, les scientifiques s'accordent à dire qu'il ne s'agit pas d'un théropode (famille du tyrannosaure) mais d'un sauropode de la famille des brontosaures, animaux gigantesques au long cou qui vivaient à l'ère secondaire, qui sont censés avoir disparus il y a 65 millions d'années. Alors serait-ce un fossile vivant comme le coelacanthe ? En tout cas, cela n'a rien de scientifiquement impossible.
Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le Mokele-Mbêmbe, sans être un dinosaure, pourrait être une espèce inconnue de gros lézards, tels les varans. Le plus grand varan vivant est le dragon de Komodo, qui vit en Indonésie et mesure 3 à 4 mètres de long ; pourrait-il en exister une espèce encore plus grande dans les marécages du Likouala ? Cette hypothèse semble susciter beaucoup plus d'intérêt chez les zoologistes que celle d'un dinosaure car un varan géant, le Megalamia, a vécu en Australie au pléistocène.

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La Bête du Gévaudan :



Blog de ovi : Le Pays de l'étrange, La Bête du Gévaudan

Il y a des animaux fabuleux qui le sont vraiment - par exemple, jamais persone n'a été mis en présence d'une licorne -, et il y a des animaux qui ont marqué l'histoire de leurs crocs sanglants : plus de deux siècles après sa mort, le souvenir de la bête du Gévaudan fait toujours frissonner.
Aujourd'hui encore, il est vrai, on ne sait pas exactement s'il s'agissait d'un loup ou ... d'une secte !

En juin 1764, une jeune femme est attaquée par la Bête dans la forêt de Merçoire, près de Langogne, alors qu'elle garde ses vaches. Au premier assaut de la Bête, les chiens s'enfuient. Sans les vaches qui, cornes en avant, tinrent le monstre en respect, la jeune femme aurait été dévorée. Repoussée, la Bête revenait à la charge, lançait sa gueule, tâchant d'attraper sa proie, mais elle finit par se décourager devant les cornes des bovins. La jeune femme s'en tira avec quelques coups de griffes, des vêtements déchirés et ... une sainte frousse.

Voilà comment elle décrit la Bête : "De la grandeur d'un veau avec un poitrail fort large, la tête et le col fort gros, les oreilles courtes et droites, le museau comme celui d'un lévrier, la gueule noire et deux dents très longues lui sortant des deux côtés de la gueule, la queue très ramée, très longue, et une raie noire du sommet de la tête à l'extrémitié de la queue. Elle se déplace par bonds jusqu'à 9 mètres."

Dans les mois qui suivent, l'horreur gagne la contrée : des enfants et des femmes sont dévorés, emportés par la Bête. On retrouve des membres, une tête ou un cadavre à demi rongé. Elle s'attaque aux femmes et aux enfants, proies d'autant plus faciles qu'ils opposent peu de résistance et que ce sont eux qui mènent paître le bétail en dehors des villages, à flanc de colline.

Les caractéristiques assez monstrueuses de cet animal, qui s'apparente au loup sans en être tout à fait un, et ses massacres incessants en ont fait très rapidement une bête extraordinaire, diabolique et invulnérable.

Dans les foyers, on commence à parler de la Bête, et la terreur se répand dans l'est du Gévaudan. La famille Denis (le père, la mère, les deux filles, Julienne et Jeanne, âgées d'une vingtaine d'années et les deux fils, Sylvain, dix ans, et Jacques, seize ans) sera douloureusement liée à son histoire, et nous la retrouverons plusieurs fois au prises avec la tueuse.

Les Denis ne sont ni pauvres ni riches. Ils possèdent quelques vaches, quelques moutons et des chèvres, que les enfants ont la charges de mener au pâturage. Ils habitent à Saint-Privat-du-Fau, au pieds des monts de la Margeride, à 1 200 m d'altitude, un peu en retrait du village. A l'automne 1764, ils apprennent les ravages de la Bête dans le haut Allier, de l'autre côté des monts de la Margeride. Elle n'est pas encore chez eux, mais elle ne va pas tarder à se manifester.

Des battues avec des centaines de paysans s'organisent. La Bête, traquée, traverse en une nuit les monts de la Margeride. Elle est maintenant tout près des terres de la famille Denis. Elle recommence ses carnages. La peur s'installe : on se barricade, on n'ose plus mener paître le bétail ni traverser seul les bois. Il faut dire que les paysans de l'époque n'avaient pas d'armes à feu, mais uniquement le pardou, une lame bien aiguisée, le barenclou, une trique garnie de pointes, la fourchine, une fourche à trois dents, et la baïonette, une forte lame emmanchée au bout d'un bâton.

Quelques privilégiés, pourtant, les chasseurs attachés aux nobles de l'endroit, possèdent des armes à feu. On tire la Bête plusieurs fois, mais elle ne semble pas atteinte par les balles, ce qui conforte sa légende.

Ainsi, le 8 octobre 1764, deux chasseurs voient la Bête et la tirent à dix pas. Elle tombe sur le coup, mais se relève aussitôt. Les chasseurs épaulent à nouveau. Elle tombe, se relève encore, entre dans un bois d'une course mal assurée, mais plus rapide que celle de ses poursuivants. Elle reçoit deux nouveaux coups de fusil, chute, se relève encore et s'enfuit. On croit la trouver morte le lendemain. Bien au contraire : non seulement on ne la trouvera pas, mais elle fera plusieurs victimes dasn les jours qui suivront. D'où la légende selon laquelle elle "charmait" les armes à feu.

En novembre 1764, le captaine Duhamel et ses dragons (40 hommes à pieds et 17 à cheval) prennent les choses en main. Duhamel organise d'énormes battues avec des centaines de paysans. Sans succès. Tous les subterfuges sont inutiles. La Bête est beaucoup trop rapide et trop intelligente pour se laisser prendre au piège. Les dragons de Duhamel croiront bien des fois la tenir, sans jamais pouvoir l'abattre.

On accorde de fortes primes pour la capture de l'animal. des chasseurs, motivés par l'appât du gain, viennent de tous les coin de la France. Cette situation dure jusqu'en avril. Les paysans sont excédés par ces dragons inefficaces qui mangent leur pain, piétinent leurs champs et assiègent leurs maisons. La Bête, comme si elle sentait les désaccords entre les hommes, massacre de plus belle au nez et à la barbe des dragons, décidement trop lourdauds.

Revenons à la famille Denis. En mars 1764, Jacques Denis garde des vaches, des chèvres et des mouton près de Malzieu, avec ses deux soeurs, Jeanne et Julienne. Il a allumé un feu à l'abri d'une roche. En surplomb, un petit talus de pierrailles grimpe jusqu'à une pente supérieure. Soudain, Jeanne pousse un cri. La Bête est sur elle et lui happe la tête. elle se débat et roule dans l'herbe dans un corps à corps avec la Bête. Jacques se précipite, fait lâcher prise à la Bête, la projette dans le feu et la maintient sur les braises. La Bête hurle... et s'enfuit.

Jeanne a deux trous sanglants derrière les oreilles, une déchirure à l'épaule. Julienne, qui s'était éloignée, accourt. Le frère et la soeur ramènent Jeanne à la maison. Celle-ci, folle de terreur, ne recouvrera jamais la raison et restera une épave gémissante, avec de soudains accès de terreur qui la feront hurler comme si les crocs de la Bête devaient indéfiniment se refermer sur elle. Julienne ne se pardonnera jamais d'avoir laissé sa jeune soeur seule. Elle dira : "Maintenant, c'est la Bête ou moi !" On la verra arpenter les collines du Malzieu, comme pour provoquer un affrontement mortel.

La réputation de la Bête s'étend non seulement à la cour de France mais aussi en Angleterre, en Allemagne et en Espagne. Le roi délègue Denneval, chasseur réputé pour avoir tué 1 200 loups dans le Gévaudan. Dès février 1765, Denneval est sur place avec six de ses meilleurs limiers.

Jacques Denis, boulversé par sa récente aventure, se joint à Denneval, qui le prend en amitié. Ce dernier change de méthode. Au lieu d'organiser, comme l'avait fait Duhamel, de grandes battues qui ne servent qu'à rendre la Bête de plus en plus émfiante, il préconise de laisser venir celle-ci, de la mettre en confiance et, dès qu'on la signale quelque part, de tenter un encerclement en la faisant pister par les chiens.

Ce stratagème n'aura pas plus de succès que les méthodes de Duhamel. La Bête connaît très bien la région. La topographie accidentée lui permet de défier ses poursuivants. Elle brouille les pistes, entre dans un bois, se cache dans un ravin, traverse une rivière, réapparaît, se tapit dans une genêtière et entraîne à ses trousses, des jours durant, des meutes d'hommes et de chiens qui, épuisés par cette course folle sur un terrain impraticable, cherchent à la nuit tombante à loger chez l'habitant, alors que, de son côté, la Bête trouve encore assez d'énergie pour faire quelques kilomètres et distancer ses poursuivants. Et toujours en laissant sur son passage des enfants égorgés, des corps déchiquetés, des membres épars.

Le nouvel espoir que les paysans mettaient dans l'envoyé du roi s'estompe progressivement. dans les foyers, la peur reprend de plus belle.

Toutefois, un noble des environs, M. de la Chaumette, aperçoit la Bête le 29 avril, entre Rimeize et Saint-Chély, et la tire. La Bête guette un berger non loin de la maison de M. de Chaumette. Il la voit et appelle ses deux frères. Tous trois armés, sortent de la maison et vont s'embusquer au-dessous du pâturage. L'un des trois entre dans le pâturage et pousse la Bête vers ses deux frères. elle se replie. Les deux frères aux aguets la tirent. La Bête s'abat sur le sol et roule deux ou trois fois sur elle-même. M. de Chaumette la tire à nouveau. Se relevant brusquement, elle roule contre un arbre et, cachée aux regards des assaillants, s'enfuit.

D'énormes taches de sang maculent le sol et les buissons alentour, comme si l'on avait saigné un cheval !

La Bête est touchée au col. On la croit morte... Mais ce n'est qu'une fausse joie. Elle ne tardera pas à recommencer ses sanglants exploits.



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Akira
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Message par Luna la lune Mar 31 Juil - 15:55

C'est vraiment étrange...
Mais bon, j'ai pas vraiment de commentaire autre que ca... J'ai fais une mini recherche...

Et je crois que le copie coller est interdit sur ce forum..

http://ovi.blog.jeuxvideo.com/Cryptozoologie/3.php
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